Notre planète brûle, nos forets disparaissent en cendre, je veux par ce travail, rendre hommage à cette nature meurtrie.
Quand la terre cuit et que le bois brûle… #free #fuck
De la beauté de la nature à l’expérience à fleur de peau
Notre planète brûle et George-K souffre du cri silencieux de ces arbres qui partent vivants en cendres, à cause de la bêtise et du profit humains.
Rendant hommage à ces êtres mourants, George-K réagit pour leur redonner vie et respect, pour sublimer ces bois martyrisés dans une émotion brute et poétique.
Alors, le bois se libère dévoilant un monochrome qui n’en est plus un.
« Avec ce carbone et ce relief à fleur de peau, c’est l’arbre qui décide de ce qu’il va me donner en révélant sa propre sculpture. C’est la magnificence : ce moment où le bois m’offre une nouvelle peau, où il mue m’apportant sa dernière beauté. » George-K
Et dans ce bois brûlé, George-K coule des filets d’eau symboliques de métal en fusion pour rendre au bois sa rivière originelle, dessinant ainsi dans ses veines une nouvelle perspective : faire advenir la nature elle-même. (Florence Liger d’Avignon)







Première présentation à l’exposition Art et Patrimoine de St Siffret